Acrylique sur toile: 46/55c
Création le: 06/04/2012
Ce poème est réalisé spécialement pour cette toile…
Je remercie son auteur ainsi que de m'autoriser à le diffuser
De désir et d’amour,
Je l’ai embrassé à pleine bouche,
Son sein rond comme une pomme,
Je l’ai mordillé comme pour m’en abreuver en somme,
Comme un bébé réclamant sa tétée. Et ma bouche
En redemandait avide et gourmande.
Mon désir pour elle me brûlait
J’étais comme en manque d’elle. Je quémande
Comme un fou. Ma main s’attarde sur sa peau de lait,
Se hasarde et, elle frisonne.
Cela me passionne.
Je la façonne
Comme une œuvre d’art,
Sous mes doigts
Et je me sens roi
De son corps.
Peau contre peau,
La chaleur.
On perle. En sueur.
Mon désir monte
Et gronde en moi.
Mes pupilles se dilatent. Plus rien ne compte.
Je suis en émoi.
En moi, une bombe à retardement prête à exploser.
Mon sexe se tend contre elle
Elle ne joue plus les rebelles.
Elle s’offre à moi, entière.
Ses yeux sont comme les miens, fiers
Et luisants. Ils me parlent, me disent
L’amour, l’envie, le désir. Ils me magnétisent.
Une dernière prise.
Je goûte ses lèvres
Sensuelles et tendres
Puis je m’invite dans le méandre
De sa chair en fièvre.
Je rends les armes.
Je la sens tremblante, en larmes.
Puis tout se tait. Silence.
Et nos deux corps restent enlacés. Présence.
Derniers baisers. Derniers regards.
Nos paupières s’alourdissent
Et se glissent
liens de laetitia Gand
http://le.comptoir.des.mots.over-blog.com/
Complices
Dans un repos mérité.
L.G
© Tous droits réservés
Je remercie son auteur ainsi que de m'autoriser à le diffuser
De désir et d’amour,
Je l’ai embrassé à pleine bouche,
Son sein rond comme une pomme,
Je l’ai mordillé comme pour m’en abreuver en somme,
Comme un bébé réclamant sa tétée. Et ma bouche
En redemandait avide et gourmande.
Mon désir pour elle me brûlait
J’étais comme en manque d’elle. Je quémande
Comme un fou. Ma main s’attarde sur sa peau de lait,
Se hasarde et, elle frisonne.
Cela me passionne.
Je la façonne
Comme une œuvre d’art,
Sous mes doigts
Et je me sens roi
De son corps.
Peau contre peau,
La chaleur.
On perle. En sueur.
Mon désir monte
Et gronde en moi.
Mes pupilles se dilatent. Plus rien ne compte.
Je suis en émoi.
En moi, une bombe à retardement prête à exploser.
Mon sexe se tend contre elle
Elle ne joue plus les rebelles.
Elle s’offre à moi, entière.
Ses yeux sont comme les miens, fiers
Et luisants. Ils me parlent, me disent
L’amour, l’envie, le désir. Ils me magnétisent.
Une dernière prise.
Je goûte ses lèvres
Sensuelles et tendres
Puis je m’invite dans le méandre
De sa chair en fièvre.
Je rends les armes.
Je la sens tremblante, en larmes.
Puis tout se tait. Silence.
Et nos deux corps restent enlacés. Présence.
Derniers baisers. Derniers regards.
Nos paupières s’alourdissent
Et se glissent
liens de laetitia Gand
http://le.comptoir.des.mots.over-blog.com/
Complices
Dans un repos mérité.
L.G
© Tous droits réservés